lundi 6 janvier 2014

La psychiatrie comme liquidatrice d'"encombrantes"..

psychotique en plein délire
Femme assise sur un poêle brûlant










UNE SIMPLE QUESTION DE CADRAGE, COMME SUR PHOTOSHOP

La psychiatrie (voire la psy en général) qui "juge" ou plus exactement qualifie un acte, un comportement, la plupart du temps hors contexte (contexte pratique, praxis) se fiant parfois benoîtement à ce qui est rapporté par l'entourage, fait objectivement le jeu du pouvoir établi, familial et social. (Lien) Imaginez un homme se brûlant cruellement sur un poêle ardent : il va hurler et faire des bonds.. et supprimons le poêle : on a un psychotique clastique grave à boucler. C'est souvent ce qui se passe. Il va de soi que ce sont ceux dont le groupe familial ou son "chef" veulent se débarrasser qui seront les plus touchés par le phénomène... et... il y a beaucoup plus de femmes en institution psy que d'hommes CQFD.

Par contre, et en ce sens les "vrais" malades ou dysfonctionnants ont plus de chance ! lorsqu'il y a réellement acte de délinquance, un expert sera diligenté pour qu'ils s'expliquent et parfois, (pas toujours) les "malades" seront bel et bien écoutés jusqu'à se voir dans certains cas quasiment dédouanés de leurs gestes même criminels. "Pas de risques de récidive", c'est ce qui avait été dit de l'assassin d'Agnès qui avait peu de temps auparavant tenté un viol et sans doute un assassinat.. inabouti.  

LE DOSSIER les femmes et la psychiatrie
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/01/la-psychiatrie-et-les-femmes-cest-fou.html

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