lundi 23 juillet 2012

Prostitution, le dilemme


Abolir le délit de racolage revient en effet à plus ou moins accepter la prostitution. C'est à dire reconnaître à un homme (ou un client de quelque sexe qu'il soit) le droit d'exiger des rapports sexuels sous contrainte de l'argent. Dans un premier temps cela soulagerait les prostituées du harcèlement policier et fiscal certes, mais dans un second temps, cela reviendrait à admettre officiellement que leur corps (donc celui de toute femme ou homme soit objet de marché... Quid fecit cui prodest? (A qui profite l'acte?) Facile : ce sont les macs qui vont en premier être soulagés, leurs affaires iront mieux.

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